31 mars 2008
Le silence, d'Eugénio de Andrade
LE SILENCE Quand la tendresse paraît déjà fatiguée de son office, et que le sommeil, la plus précaire des barques, tarde encore, quand tes yeux jaillissent bleus et recherchent dans les miens une navigation sûre, c’est que je te parle des mots désemparés...