19 février 2010
Conrad, Au coeur des ténèbres
U ne longueur de fleuve s’ouvrait devant nous et se refermait derrière, comme si la forêt avait tranquillement traversé l’eau pour nous barrer le passage au retour. Nous pénétrions de plus en plus profondément au cœur des ténèbres. […] Nous aurions pu...